pourquoi toutes les crypto-monnaies chutent
Pourquoi toutes les crypto-monnaies chutent
Lorsqu’une cryptomonnaie devient populaire, l’argent afflue vers elle et affecte ainsi son prix. Parallèlement, de nouvelles cryptos sont lancées chaque jour, ce qui peut avoir un effet de dilution sur les autres https://casinos-canadiens.net/.
Vous pouvez envoyer et recevoir des crypto-monnaies, quel que soit l’endroit où vous vous trouvez sur le globe. Vous n’aurez pas non plus à payer de frais de transaction à l’étranger comme vous le feriez probablement avec une monnaie traditionnelle.
Depuis les débuts du bitcoin jusqu’à la prolifération des nouvelles monnaies aujourd’hui, le piratage est resté un problème majeur pour les investisseurs en crypto-monnaies. Chaque piratage du système, des échanges ou des portefeuilles de crypto-monnaies a provoqué un effondrement des prix. Récemment, une attaque contre la bourse de crypto-monnaies binance a provoqué une chute de 10,8 % en quelques minutes.
Pour beaucoup, la décentralisation est une composante essentielle de la blockchain. C’est une idée fondamentale sur laquelle des devises telles que Bitcoin ont été construites, ce qui est au cœur de la conception de Satoshi Nakomoto. Une grande réflexion technique a été consacrée au maintien de la décentralisation du Bitcoin et d’autres crypto-monnaies, et certains diraient qu’il s’agit de la percée technologique la plus importante de la technologie. Les crypto-monnaies permettent aux gens d’effectuer des paiements sans aucun tiers en plus du code intégré dans des réseaux d’ordinateurs immuables. Une fois qu’une personne possède une crypto-monnaie dans un portefeuille, personne ne peut lui dire qu’elle ne peut pas déplacer cette devise où bon lui semble. Cela s’oppose aux banques où une banque peut souvent détenir des fonds pour une raison ou une autre, ou simplement prendre plusieurs jours tandis qu’en réalité les transactions réelles ne devraient prendre que moins d’une heure.
Les crypto-monnaies ne se limitent pas à effectuer des paiements, d’autres systèmes ont vu le jour au-dessus des blockchains avec lesquelles les crypto-monnaies peuvent interagir, comme la finance décentralisée. Ici, les gens peuvent faire des choses telles que prendre des prêts et gagner des rendements sur leurs crypto-monnaies sans intermédiaire. Cependant, certaines crypto-monnaies sont plus décentralisées que d’autres, il y a un grand débat sur le degré de décentralisation suffisant. Le Blockchain Trilemma indique qu’il existe un compromis à trois voies entre la décentralisation, l’évolutivité et la sécurité. Augmenter une variable aura tendance à diminuer les deux autres. De nos jours, la plupart des chaînes qui ont une forte augmentation de la capacité de traitement des transactions et des coûts inférieurs ont tendance à compromettre la décentralisation et l’évolutivité.
L’Inde propose toutes les crypto-monnaies
Le rapport révèle même que l’interdiction des crypto-monnaies affectera négativement la population honnête, tandis que les criminels continueront d’échapper à la justice. De même, il a souligné que les politiciens corrompus et les fraudeurs utilisent des comptes dans les banques suisses pour échapper à la justice. Un fait que jusqu’à présent personne n’a pris au sérieux ; Par conséquent, aucune mesure d’interdiction n’a été imposée à l’encontre de ces comptes, bien qu’il s’agisse d’un problème connu dans le monde entier.
Les progrès de la CBDC indienne sont plus prudents mais significatifs ; la Reserve Bank of India a lancé un projet pilote pour sa roupie numérique, en se concentrant sur les applications de gros et de détail, avec des projets d’étendre les tests à davantage de régions. La roupie numérique, la CBDC de l’Inde, est une étape cruciale.
Le rapport révèle même que l’interdiction des crypto-monnaies affectera négativement la population honnête, tandis que les criminels continueront d’échapper à la justice. De même, il a souligné que les politiciens corrompus et les fraudeurs utilisent des comptes dans les banques suisses pour échapper à la justice. Un fait que jusqu’à présent personne n’a pris au sérieux ; Par conséquent, aucune mesure d’interdiction n’a été imposée à l’encontre de ces comptes, bien qu’il s’agisse d’un problème connu dans le monde entier.
Les progrès de la CBDC indienne sont plus prudents mais significatifs ; la Reserve Bank of India a lancé un projet pilote pour sa roupie numérique, en se concentrant sur les applications de gros et de détail, avec des projets d’étendre les tests à davantage de régions. La roupie numérique, la CBDC de l’Inde, est une étape cruciale.
En ce qui concerne la CBDC, la monnaie numérique de la banque centrale du pays, elle est entrée en phase de test depuis plusieurs mois, afin que son impact sur les systèmes bancaires et monétaires puisse être évalué. “L’introduction d’une monnaie numérique de banque centrale donnera un grand coup de pouce à l’économie numérique. La monnaie numérique conduira également à un système de gestion des devises plus efficace et moins cher”, explique la ministre.
En tant que cinquième économie mondiale, l’Inde dispose d’une population jeune et désireuse d’adopter les nouvelles technologies. Plus de 50 % de sa population a moins de 25 ans, ce qui favorise l’innovation et l’adoption des crypto-actifs. Cette démographie est particulièrement visible dans les centres urbains, où les paiements numériques gagnent rapidement en popularité.
L’Inde propose d’interdire toutes les cryptomonnaies
L’Assemblée nationale indienne travaille sur un proposition de loi visant à interdire les cryptomonnaies, comme le Bitcoin ou Ethereum, et lancer une monnaie numérique émise par la Banque de Réserve de l’Inde (RBI), la banque centrale du pays, d’après Reuters. Le texte, actuellement en discussion devant le Parlement, prévoit des exceptions à cette interdiction lorsque l’objectif de promouvoir la technologie sous-jacente est rempli. Jusqu’à 10 ans d’emprisonnement Cette prohibition est née à la mi-2019 d’un groupe de travail rattaché au gouvernement indien qui a recommandé d’interdire toutes les cryptomonnaies privées. Cette interdiction est accompagnée d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 10 ans et de lourdes amendes pour tout individu traitant des devises numériques. La Banque de Réserve de l’Inde s’est également positionnée à plusieurs reprises en faveur d’une interdiction des cryptomonnaies. En avril 2018, elle avait ordonné aux institutions financières du pays de rompre dans un délai de trois mois les liens avec les entreprises et les particuliers qui utilisaient des cryptomonnaies. Saisie par l’Internet & Mobile Association of India (IAMAI), cet ordre avait été annulé en mars dernier par la Cour suprême indienne qui a jugé que cette interdiction bancaire était inconstitutionnelle. Mais cette décision ne concerne que l’étendu des pouvoirs de la RBI et pas ceux du Parlement et du gouvernement qui peuvent toujours a priori interdire les cryptomonnaies. Peu de pays ont interdit les cryptomonnaies De nombreux pays cherchent à encadrer l’utilisation des devises numériques, pour réduire leur impact sur la stabilité financière, mais il est rare qu’un gouvernement aille jusqu’à son interdiction. Dans certains Etats, l’utilisation des cryptomonnaies est illégale comme le Pakistan, la Bolivie ou encore le Maroc. En France, l’heure n’est pas à l’interdiction mais à la réglementation. En réaction à la décapitation de l’enseignant Samuel Paty en octobre dernier à Conflans-Sainte-Honorine, le ministre de l’Economie Bruno Le Maire avait annoncé son intention de renforcer le contrôle sur les cryptomonnaies, en particulier dans un objectif de lutte contre le terrorisme. Début septembre 2020, il avait déjà expliqué l’importance de mieux réguler ces devises, telle que Libra, lors d’une déclaration commune avec ses homologues allemand, italien, espagnol et néerlandais début septembre. “La question, c’est de savoir qui a le droit d’émettre de la monnaie. Est-ce l’Etat, la banque centrale ou n’importe qui ? Nous, nous disons, ce sont les Etats et les banques centrales”, avait prévenu le ministre.
Le gouvernement indien considère donc que toute monnaie numérique qu’il ne peut contrôler doit être rangée dans la catégorie « privée ». Le Bitcoin (BTC), l’Ether (ETH) et la totalité des cryptomonnaies du marché sont donc visés par ce projet de loi.
Les détenteurs de cryptomonnaie en Inde ont été pris au dépourvu et laissés dans la confusion après l’annonce ce vendredi 29 janvier que le Parlement du pays allait examiner un projet de loi soutenu par le gouvernement qui interdirait les cryptomonnaies d’origine privées. Étant donné que le parti au pouvoir contrôle les deux chambres du Parlement, les chances que ce projet de loi soit adopté sont relativement importantes.
L’Assemblée nationale indienne travaille sur un proposition de loi visant à interdire les cryptomonnaies, comme le Bitcoin ou Ethereum, et lancer une monnaie numérique émise par la Banque de Réserve de l’Inde (RBI), la banque centrale du pays, d’après Reuters. Le texte, actuellement en discussion devant le Parlement, prévoit des exceptions à cette interdiction lorsque l’objectif de promouvoir la technologie sous-jacente est rempli. Jusqu’à 10 ans d’emprisonnement Cette prohibition est née à la mi-2019 d’un groupe de travail rattaché au gouvernement indien qui a recommandé d’interdire toutes les cryptomonnaies privées. Cette interdiction est accompagnée d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 10 ans et de lourdes amendes pour tout individu traitant des devises numériques. La Banque de Réserve de l’Inde s’est également positionnée à plusieurs reprises en faveur d’une interdiction des cryptomonnaies. En avril 2018, elle avait ordonné aux institutions financières du pays de rompre dans un délai de trois mois les liens avec les entreprises et les particuliers qui utilisaient des cryptomonnaies. Saisie par l’Internet & Mobile Association of India (IAMAI), cet ordre avait été annulé en mars dernier par la Cour suprême indienne qui a jugé que cette interdiction bancaire était inconstitutionnelle. Mais cette décision ne concerne que l’étendu des pouvoirs de la RBI et pas ceux du Parlement et du gouvernement qui peuvent toujours a priori interdire les cryptomonnaies. Peu de pays ont interdit les cryptomonnaies De nombreux pays cherchent à encadrer l’utilisation des devises numériques, pour réduire leur impact sur la stabilité financière, mais il est rare qu’un gouvernement aille jusqu’à son interdiction. Dans certains Etats, l’utilisation des cryptomonnaies est illégale comme le Pakistan, la Bolivie ou encore le Maroc. En France, l’heure n’est pas à l’interdiction mais à la réglementation. En réaction à la décapitation de l’enseignant Samuel Paty en octobre dernier à Conflans-Sainte-Honorine, le ministre de l’Economie Bruno Le Maire avait annoncé son intention de renforcer le contrôle sur les cryptomonnaies, en particulier dans un objectif de lutte contre le terrorisme. Début septembre 2020, il avait déjà expliqué l’importance de mieux réguler ces devises, telle que Libra, lors d’une déclaration commune avec ses homologues allemand, italien, espagnol et néerlandais début septembre. “La question, c’est de savoir qui a le droit d’émettre de la monnaie. Est-ce l’Etat, la banque centrale ou n’importe qui ? Nous, nous disons, ce sont les Etats et les banques centrales”, avait prévenu le ministre.
Le gouvernement indien considère donc que toute monnaie numérique qu’il ne peut contrôler doit être rangée dans la catégorie « privée ». Le Bitcoin (BTC), l’Ether (ETH) et la totalité des cryptomonnaies du marché sont donc visés par ce projet de loi.
Les détenteurs de cryptomonnaie en Inde ont été pris au dépourvu et laissés dans la confusion après l’annonce ce vendredi 29 janvier que le Parlement du pays allait examiner un projet de loi soutenu par le gouvernement qui interdirait les cryptomonnaies d’origine privées. Étant donné que le parti au pouvoir contrôle les deux chambres du Parlement, les chances que ce projet de loi soit adopté sont relativement importantes.